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« Répondre #4 le: 02 Juillet 2008 à 13:53:15 » |
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Le "Liberté" voguait a nouveaux, avec 2 canons de plus grâce a sa dernière prise. Il cherchait une autre prise. Il n'avait rien trouvé, mais il ne désespéré pas. La vigie n'avait rien vue, mais sa ne serait tardé. Il cherchait une prise peu défendu, leur petit canon ne leur servant a rien contre un navire bien défendu. Grâce au carte recopié par Fire, il suivait une route de commerce non défendu. Il finirent par trouver se qu'il voulait. Une goélette peu armée. La goélette prit aussi tôt la fuite, et le "Liberté" essaya de le rattraper. Il fallut 4 heures au "Liberté" pour le rattraper, mais on finit par être a porter de canons. Les canons était chargée, 3 au boulets ramé, le reste a la mitraille. -Paré a faire feu. -Attendez... Attendez! Canon de chasse... FEU! Un éclair aveugla les hommes, et puis un effroyable bruit vint taper les tapans des hommes. Les canons avait tiré leur boulets, et Fire sentit une odeur de souffre, il vit la fumée sortant des canons. En fasse il eut un grand crac, et le crit des hommes, il en eut même qui tombèrent a la mer. La fumée encerclée le navire ennemis. Un second crac. Les même cris d'homme. La fummée se dissipa. Sur le navire ennemis, les 2 mats était coupé par les boulets ramé lancé par les canons de chasse. Une vingtaine d'hommes essayait de coupait se qui reliait le navire au mat, car sa le déséquilibrait. -Canon de chasse, rechargez a la mitraille et attendait mon ordres. SORTEZ TOUTE LA VOILURE. Le navire continuait a se raprocher. On mit les canons sur pivot de façon a ce qu'il puisse tirrer sur la goélette ennemis. -CANON... FEU! Le même éclairs, le même son, a ce si près qu'a la place de l'entendre 2 fois comme a la dernière fois, ce fut 4 fois. Les hommes qui coupait les mats furent haché par la mitraille. -RECHARGEZ A LA MITRAILLE ET ATTENDEZ MES ORDRES! Les navires se rapprochait. Le navire ennemis étant immobilisé, se fut plus que facile. Dès qu'on fut bord � bord, on lança les grappins sans même balayer le pont car il n'y avait personne. Il s'était replié a l'interrieur. Les pirates enfoncèrent la porte, mais c'était un piège. Les mousquet derrière faisait feu, et l'équipage était en 5 rangs. 7 pirates trouvèrent la mort, et 5 furent bléssé. Ensuite l'équipage chargea, sabre a la main. Surpris et un peu confus a cause du piège, la bataille tourna rapidement en faveur des marchands. -Repliez-vous! Repliez-vous! Les moucheurs couvrirent la fuite. Tirant comme des soldats d'élite, il éliminé les ennemis. Ils empêchèrent l'ennemi de s'éloigné, leur empêchant la retraite, les forçant a abordait. Mais dès qu'il voulurent suivre les pirates, les canons les décimèrent. Les quelque soldats ayant réussi a passer se lancèrent dans un combat inégale. Fire se lança directement dans la baston, a sa façon: Un arc a la main, il tirait ses flèches a toute vitesse touchant une fois sur deux sa cible en un endroit mortelle pour elle, le plus souvent le coeur ou la tête. François quand a lui sortit de pistolet, il en tira avec un sur un marin le chargeant. Il ne faisait aucun doute maintenant qu'il y avait des soldats a bord. Il le toucha au ventre, François jeta son pistolet et sortit une épée. Maintenant blessé, il n'eut aucun mal a le tuer. Il tira avec son dernier pistolet pour sauver la vie d'un de ces hommes. Puis il chargea dans la mélé. Un premier marin vint s'opposer a lui en essayant de l'embrocher, mais François esquiva et le décapita. Petit a petit, les assayant se faisait repousser. Il essayèrent de se replier, mais les canon leur coupèrent leur fuite. Aucun marins ne se rendit, et ils durent les tué jusqu'au dernier. Le navire était a eux.
-Capitaine? -Oui? -Le navire est a nous! -Je le sais. Combien de perte? -17 mort et 20 bléssés. -Tan que sa! La cargaison? -Or et argent! -En grande quantité? -En lingot, oui assez! Au moins 30 lingot d'argent et 10 d'or! -Voil� se qui expliquait la présence des soldats a bord... Embarqué la cargaison a bord du "Liberté" et construisait des mats de fortune a la goélette. Je propose de la renommé le "Loyale". Un murmure d'apréssation passa sur le pont et après un vote a main levée, il fut accordé. Les réparations prirent toute la nuit, le combat ayant duré de jours, et les navire prirent direction de Antigua, avec malheureusement juste assez d'homme pour navigué. Mais la cargaison en vallait la peine, et il avait un autre navire. Mais il leur faudrais recruter...
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