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« le: 31 Décembre 2008 à 12:58:28 » |
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La petite ville se réveillait lentement, même si une grande partie était déj� levé, l'activité elle n'avait pas encore commencait.
Sur le quai le vieux pêcheur David s'occupait de rafistoler son filet, son compagnon de travail vint le voir en mangeant une miche de pain, la bouche pleine et envoyant des miettes devant lui il dit.
- comment va "David poisson!" - Tu peux m'appeler comme tu veux! je reste de bonne humeur! Répondit le pêcheur presque en riant, un petit sourire apparu sur son visage marquée par l'âge. Les deux hommes levèrent leur nez pour voir l'horizon et savoir si leur pêche sera facile ou non. L'épingle de couture d'un vieux marin lui tomba des lèvres devant le spectacle.
Le fort fut réveillé bien ardemment par le sifflement qui suivit le bruit bien spécifique d'une canonnade. Les boulets en cuivre vinrent s'écraser sur les remparts du fort, faisant sauter deux des canons et surtout provoquant la panique dans le port entier.
Les soldats se préparèrent � toute vitesse, s'armant. On appela le chef du fort Roche qui monta � toute vitesse sur les épais remparts, observant la flotte.
deux frégates, un deux ponts suivit de deux galions espagnols. L'armée était beaucoup plus puissante que ce que le fort pouvait affronter. On sonna les cloches afin de faire venir les habitants dans le fort.
On chargea les canons alors que les deux frégates faisait une manœuvre risqué dans un port peu large afin d'être parallèle aux navires � quai. Une fois faite ils crachèrent toute leur puissance de feu, peu de canons mais de calibre 24, les détonations furent violente, avec un bruit sec et une fumée blanche qui aveugla les frégates, qui avait mit en panne. Les boulets percutèrent les bordées des navires, déchirant littéralement leur coque et les hommes qui se tenaient derrière dans des éclats de bois et de fer, quand les canons décollés sous la pression et la force des boulets recut. les navires � quai faiblement armée, avec très peu de marins � bord levèrent tous le drapeau blanc, alors que leur mat tombait parfois en ruine.
Seul le Fort offrait une résistance, envoyant des boulets de canons de trente livres qui traversaient le tillac des frégates et éclataient les mats, mais ne causaient pas assez de dégât, de part le nombres des canons: seulement une cinquantaine divisé en deux fort, avec celui de la Roche qui en contenait le plus et le nombre de navire et leur puissance ennemis.
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