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Auteur Fil de discussion: La défense de Grenade  (Lu 86812 fois)
kevin26703
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« Répondre #90 le: 11 Septembre 2010 à 18:14:59 »

Le Navire de Doroit arriva en position de tir , mais les hommes de Doroit furent les plus rapide �  ouvrir le feu, la bordée fut très bien placé et les galions subit de grand dégats du coté tribord en ayant au moins perdu quelques canons.Les tirs avaient endommagé l'intérieur du galion tuant quelsques artilleur et en blessant un certaisn nombres.

La riposte du galion ne fut pas longue �  attendre, les canons firent feu et le pont fut touchés, les voiles furent un peu déchiré par les tirs, les mats n'avaient subi aucun dégats mais le bastinguage avait totalement ou presque, arrachés par les tirs ennemis, tuant qdes marins mais en sauvant énormément.

Alors que les hommes de Doroit tentèrent de trouver un moyen pour prendre �  l'abordage le galion "Le Roi des Océans"le navire de Doroit envoya une nouvelle bordé faisant pas mal de dégats sur la coque.

C'est en voyant les dégats que Doroit eut une idée:


- Essayez de grimpez sur le batiment  les autres essayez de passer par les dgats fait avc nos canons et tuez le plus d'artilleur possible.

L'ordre de Doroit fut suivit �  la lettre et avant que certains canons furent rechargé, les hommes de Doroit reussirent �  passer par la coque, seul problème et que le nombre de marin ayant reussit cette prouesse et très limté, seul la moitié des 60 marins sont passés, et devaient tenir leurs positions.

Alors que ceux qui escaladent le navire étaient nombreux mais tomber rapidement aux combats.
Aux bout de pénible effort, les français arrivèrent �  monter sur le navire et �  défendre les positions.
Alors que les français occupés les anglais,un canon du galion fut utilisé contre le grand mât de celui-ci, grace �  cette prouesse les renforts pouvaient grimper par le grand mat.Suivit du mat d'artimon qui fut abbattu par des tirs de canons de la frégate.
La frégate reussit �  s'éloigner du galion pouvant avoir un meilleur angle de tir, les anglais trop occupé �  repousser plus de 150 marins ennemis ne pouvaint tenter des tirs aussi précieux,éfficace et nombreux qu'avant.

Doroit ordonna le départ de chaloupes elles transporteraient dans une premier temps 50 marins.
Deja que sur les 150 marins on compte 35 victimes française alors qu'il y a en a plus de 80 anglais tombé aux combats. Les français on nettoyer rapidement les soutes ennemis, les anglais étaient surprit et abbattu se qui fut une vrai reussite.
Alors que sur le pont il y a avait énormément de mort pour les français comparé aucx anglais, ceux ci se livrèrent une bataille �  coup de mitraille tuant beaucoup de soldats mais amochant aussi les gréement.
Si les renforts français n'arrivent pas aux plus vite le galion repoussera l'assaut.


- Que Dieu soit avec vous et vous mène sur le galion la reussite de la mission est sur vos épaules  soldats !  
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Arthurius
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« Répondre #91 le: 11 Septembre 2010 à 18:34:33 »

Lovecraft, qui était remonté sur le navire avec Kane et Magraen, parti dans la cabine de l'officier de bord, et y trouva un splendide mousquet qu'il coinça dans sa ceinture ainsi qu'une bouteille d'un excellent armagnac. Margraen quand �  lui s'emparra du sabre de l'officier et Kane parti chercher les munitons, et commença �  en faire l'inventaire, car il n'avait pas encore trouvé quelque chose d'interressant.

L'artilleur parti voir les canons du navire et en compta 32, tous neufs ( des pièces de 8 ). A croire que les anglais avaient fait fabriquer des canons juste pour attaquer Grenade...

Mais le plus important pour l'instant était de transformer le navire en forterresse, donc de disposer astucieusement les canons de façon �  pouvoir tirer partout autour et �  modifer le navire en conséquence.
 
« Dernière édition: 11 Septembre 2010 à 19:21:43 par Arthurius »
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« Répondre #92 le: 11 Septembre 2010 à 19:17:49 »

Lerequin répondit �  Yohan de se replier vers la prochaine barricade, d'emporter les canons gr� ce au systéme de poulie et de fermer les caves pour que les anglais ne s'en servent pas, il retourna vers son coin, les anglais venaient de débarquer, une centaine d'hommes, les canons des défenseurs en tuérent une dizaine, mais l'artillerie anglaise tua vingts des français, Lerequin fit tirer les pierettes et ses hommes, trente anglais furent touchés, maintenant que les forces étaient �  égalité, Lerequin ordonna de charger au sabre, les anglais furent tous tué, au prix de dix hommes, Lerequin ordonna la retraite �  la prochaine barricade, ils étaient maintenant cinquante et un....  
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Arthurius
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« Répondre #93 le: 11 Septembre 2010 à 21:42:17 »

Pour tranformer le navire en forteresse provisoire, il fallait modifier la disposition des canons: au lieu d'en avoir 16 de chaque coté, on en plaça 8 sur la proue, 4 sur la poupe, et on en laissa 10 sur les cotés. le navire pouvait maintenant se défendre de tout les cotés. Pour la suite du plan (remettre le navire �  l'eau et attaquer la flotte anglaise) il fallait gagner en vitesse, donc enlever tout ce qui est inutile sur le navire, �  commencer par les vivres. On fit également mettre �  terre touts les hamacs des marins, les meubles de la cabine du capitaine ainsi que son service �  thé (toute prise de vitesse est bénéfique).
A la fin il ne restait sur le navire que les munitions, les canons et les voiles...
 
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« Répondre #94 le: 12 Septembre 2010 à 11:15:56 »

Kane ayant vu que l'on avait transformé le navire en forteresse volante se demanda qu'elle était la suite du plan. Il demanda �  Frank :
" C'est quoi la suite, d'après toi ?"
" Euh ... vu qu'on a enlevé les hamacs et le service a thé, je dirais que soit on veut s'enfuir au plus vite ...
" QUOI ?? Comme des lâches, face à ces engeances du chaos !!
" Ce n'est qu'une supposition, où bien on va au milieu de ces chiens et on fait un baroud d'honneur ...
" Du moment qu'on les égorge ces chiens, même ceux qui se rendent. Pas comme Magraen qui veut respecter les "conventions de la guerre"(ironique) , ne pas "éxécuter ceux qui se rendent"(encore plus ironique). Foutaises, Ils se rendent pour mieux nous poignarder dans le dos ! Ils faut tous les tuer, par derrière avec une balle dans la tête !
"Non, pas une balle, leur vie ne valent même pas le prix de la poudre. Il faut juste les égorger, comme des porcs autant qu'ils sont. Mais bon il faut se préparer au combat, faites votre prière, affutez votre lame et préparer Katarina pour le festin qui s'annonce!!
" Tu as raison, et toi n'oublie Natasha ... Ezekiel 25, 17 (marmonement) ...  
« Dernière édition: 12 Septembre 2010 à 11:18:57 par LOW59 »
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« Répondre #95 le: 12 Septembre 2010 à 15:59:27 »

Doroit continua le combat avec la galion, mais celuici envoya une bordée destructrice.
un boulet touche légèrement en dessous de la ligne de flottaison. Le navire commencais �  prendre un peu, l'eau, mais le grand mat et le mat d'artimon furent arrachés.Plus aucun de moyen de fuir  pour  Doroit, le navire ne pouvais quasiment plus bougé.De plus beaucoup de pièces artillerie furent touchés peu de chance de gagné par cannonade.
Un nouveau tir anglais vint cette fois toucher la ligne de flottaison,de l'eau rentrez de plus en plus dans la frégate.


- De l'eau s'infiltre dans le navire capitaine ! dit le maitre charpentier très stréssé.

- Et mince... Pas le choix nous devons prendre le galion envoyer encore plusd e marins sur le galion. ordonna Doroit

- Mas capitaien nous pouvons encore... contesta le charpentier

3 boulets virent touchés la coque en dessous de la ligne de flotaison, il n'y avais plus d'espoir, tous les marins prirent le maximum d'armes et montèrent dans les chaloupes.

Celles ci faisaient des aller-retour pour amener le plus de marin sur le galion, Doroit monta enfin sur la chaloupe, le navire était rempli d'eau les soutes étaient immergés.

Les français tentèrent un massacre en règle des anglais mais ceux ci se défendaient bien.
Pour l'instant il ya avait 200 français �  bord du galion 50 encore dans les chaloupes, il y avait eu 100 morts, pour les anglais sur 500 marins il n'en restais seulement que la moitié.Le rapport de force était équitable.


- Tous le monde dans le navire ! ordonna Doroit

Doroit se lança dans un combat avec 2 soldats anglais, il eut du mal les désarmer surtout qu'il fut touché  �  l'avant bras que très légèrement mais il était quand même en mauvaise posture.
Il profita d'une erreur d'un des anglais pour lui enfoncer sa lame dans la poitrine, l'autre anglais tenta de le tuer mais Doroit lui lanca un petit couteau qui toucha l'anglais �  l'épaule.
Etant un bon escrimeur, Doroit tua l'anglais.
Le combat fut rude surtout quand anglais et français s'échager des tirs de pierrettes.
 
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« Répondre #96 le: 12 Septembre 2010 à 17:36:00 »

Lerequin s'appretait �  recevoir la troisiéme vague, ayant du abandonner la barricade les anglais en firent un avant-poste avancé, Lerequin avança petit �  petit, quand il vit les anglais il fit rouler un tonneau de poudre jusqu'a eux et tira dessus au moment opportun, une dizaine d'anglais furent tué, les autres blessées, leurs tirs ne furent pas trés précis �  cause de la fumée provoquée, Lerequin en profitai pour fuir. Les anglais firent feu sur la barricade, celle-ci vola en éclat, provoquant le mort de trois hommes �  côté, les anglais arrivérent mais les pirates, cachés dans les batiments les tuérent, les pierettes tuérent le reste avec la mitraille, les anglais restants furent fait prisonnier et executés...  
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« Répondre #97 le: 12 Septembre 2010 à 19:27:34 »

Kane et Frank regardaient les marins mettre les canons en position :
" Mais qu'est-ce qu'il peut bien foutre, ce Magraen ?!!
" Je sais qu'il a un plan, mais je sais pas ce qu'il fout dans sa cabine depuis 2 heures !!
" en plus il s'est enfermé avec l'artilleur...
" quoi avec l'artilleur ??! euh ... tu croies pas qu'ils seraient ...
" ouais il est ...
" hein ??
" oui, l'artilleur est un pervers fini ...
" euh, je ne parlais pas de ça !
" hein quoi, j'entends pas !! Parle plus fort !
"euh, non rien ... et peut-être que Magraen est peureux !
" Quoi lui !! Je peux pas le croire !
" Ou bien c'est un traître et un allié de ces ordures d'anglais
" Quoi !! J'en étais sûr on peut pas être blond et être français. Et en plus il a la peau pâle, comme un de ces aristots de ces catains de l'enfer. Que le diable l'emporte !!
" Mais avant tout il faut attendre qu'il fasse un mouvement qu'il le trahisse ce chien de Belzébuth !!
"Attendons encore deux heures �  moins qu'il nous donne des consignes pour attaquer ces engeances du chaos !!
Sur ce la porte du capitaine s'ouvrit et Magraen et l'artilleur sortirent...
   
« Dernière édition: 12 Septembre 2010 à 19:34:14 par LOW59 »
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« Répondre #98 le: 12 Septembre 2010 à 20:24:14 »

Quand Magraen et l'artilleur sortirent, Kane et Frank virent une bien étrange scène: Magraen, portant l'artilleur par le col d'unem ain et avait une bouteille presque vide dans l'autre.
Lovecraft se débattait, et criai:

-mais tu vas me lacher oui Huh? t'a pas autre chose �  faire que de nuire aux honnetes gens Huh? ça y est j'ai bu l'alcool d'un officier anglais mort et tu va me chercher des noises Huh?
-tu est complètement saoul, tu tiens �  pene debout. et tes insubordinations répétées commencent sérieusement �  m'énerver. ainsi je vais te mettre aux fers le temps que tu cuve ton vin, et ta bouteille sera vidée dans la mer.
-nooooooooooooooooooooooon !!!!

L'artillleur était déserpéré, et saisit son fusil par le canon, ce qui eu pour effet d'envoyer la crosse du dit fusil dans la machoire de Magraen, qui lacha prise.
Lovecraft en profita pour reprendre sa bouteille et commençait �  reculer, car les hommes de Magraen l'avait encerclé. Mais �  force de reculer il buta contre le bastinguage ce qui le fit basculer par dessus bord, et il tomba sur la plage, et y vit Kane et Frank, hilares devant la scène. L'artilleur en profita pour essayer de courrir (malgré son hébriété avancée) et s'enfonça dans la jungle...  
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« Répondre #99 le: 12 Septembre 2010 à 20:49:12 »

- On va le chercher ?
Pas la peine, Kane, ca servira pas a grand chose. Bon, tout le monde a terre maintenant, on repousse ce rafiot a l'eau, il sera plus utile qu'ici.
Mais, chef, on est pas assez pour  le manœuvrer !!
Je sais Guillaume, je sais... C'est pour ca que je vais recruter quelques hommes en ville. En attendant, poussez le a flot et dés qu'il y est chargez déj�  les canons en attendant, mais ne quittez pas cette baie, compris ?

Mais chef, vous allez pas allez tout seul a travers les lignes ennemies ?
Non... Kane, Franck, on se déguise en anglais et on y va. Si faut passer au milieu de ces salauds, autant en avoir l'air, ca peu passer...
Les trois hommes s'enfoncèrent dans la jungle quelques minutes plus tard, aussi discrètement que possible...
   
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« Répondre #100 le: 12 Septembre 2010 à 21:05:25 »

Lerequin qui était �  la barricade entendit du bruit dans un buisson, une petite troupe de cinq hommes mirent trois hommes en joue, Lerequin alla voir ce qu'il se passe, il s'approcha d'un anglais...
"Alors? que faites-vous ici? Parlez
-Nous sommes des français Lerequin, nous venons chercher du renfort en ville pour manoeuvrer une frégate
Lerequin lui mis un coup de poing dans la joue, c'est aprés qu'il se rendit compte de son erreur
-Désolé Magreaen, je vous ai pris pour un anglais, que voulez-vous?
-Je vous l'ai dit, il nous manque une quarantaine d'homme pour manoeuvrer notre frégate...
-Je vous aiderai mais nous avons subi de grosse pertes, rendez-vous au fort ils ont quelques hommes, bonne chance...
-Merci, vous aussi Lerequin
Lerequin en profita pour réorganiser les défenses et fit cacher les munitions dans une des caves...  
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« Répondre #101 le: 12 Septembre 2010 à 21:12:50 »

Un peut plus tard, Magraen repassa suivit d'une soixantaine de solides gaillards, parfois tiré de prison pour l'occasion. Profitant d'un intervalle entre deux assaut, la troupe fila vers le navire et le trouva a flot et y embarquèrent en chaloupe. les 86hommes se répartirent ensuite les postes de manière a obtenir un rendement optimal de l'effectif et partirent en mer vers les autres plages de débarquement. Contournant ainsi la flotte anglaise par derrière sur un de leur navire avec leur pavillon, ils n'éveillèrent pas la méfiance et purent ainsi s'approcher de la frégate qui bombardait la plage de lerequin.
Celui-ci vit ce nouveau bâtiment arriver avec grande appréhension depuis la rive, s'imaginant voir les tirs s'intensifier sur sa position. Quelle ne fut pas sa surprise quand la frégate volée lâcha une bordée de boulets a bout presque portant sous la ligne de flottaison de la frégate britannique qui se mit a lentement sombrer avant d'accoster et de lancer l'abordage d'une autre frégate qui venait de débarquer son équipage et était donc presque vide......

   
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« Répondre #102 le: 12 Septembre 2010 à 21:14:14 »

Kane pensa que le coup de poing de Lerequin sur ce maudit Magraen n'était pas volé et il était de plus en plus amusé de voir que Magraen se prenait de plus en plus de coup ces temps ci. Il se demanda quand viendrait son tour de lui foutre une beigne. Il se dit finalement qu'il la réserverait au moment ou Magraen s révéleraitêtre un succube de ces damnés chiens de la peste (anglais). Il rit intérieurement de cette scène. Sur ce il se rua dans le Navire anglais et commença �  faire une boucherie sans nom tout en criant des verset de la bible (partie Apoclypse et jugement dernier (bref les plus intéressants)).  
« Dernière édition: 12 Septembre 2010 à 21:23:40 par LOW59 »
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« Répondre #103 le: 12 Septembre 2010 à 21:26:54 »

Pendant sa course �  travers la jungle, Lovecraft fut assomé par une branche. A son grand étonnement il se reveilla dans une cabane, �  coté d'un jeune homme qui préparait une mixture étrange, en concassant une grenouille.

-Ohhh ma tete... ou est-ce que je suis?
-sur l'ile de Grenade.
-ça je sais... ils sont où les anglais??
-les anglais? quels anglais?
-ceux qui attaquent l'ile...
-ah l'ile est attaquée?
-Mais d'ou tu sort toi?? et t'es qui d'abord?
-Hector Lefranc, medecin, et artificier �  mes heures perdues... l�  je fabrique un poison tellement violent qu'il peut tuer un homme en �  peine quelques secondes.
-medecin et artificier hein? on pourrais avoir besoin de toi l�  bas..
- j'ai pas envie de risquer ma peau.

Lovecraft déguaina son mousquet, et le pointa sur Hector.

-et l�  tu viens nous aider?
-M...Mais bien sur monsieur... monsieur?
-...Lovecraft.
-bien je vous suis monsieur Lovecraft, mais avant, enduisez les balles de vos amres avec ce poison, ainsi meme une blessure serait mortelle...

Lovecraft fut impressioné... il pouvait ainsi tuer des anglais depuis la digue, juste en les frolant avec ses balles...

Cet Hector allait se réveler bien utile pour la suite...  
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« Répondre #104 le: 12 Septembre 2010 à 21:49:28 »

Une des sentinelles de la barricade alerta Lerequin qu'un drôle de spectacle se déroulait en mer, il vit deux navires pavillon anglais se battre, il reconnut plus ou moins Magraen, pour l'instant dur �  dire qui allait gagner même si les défenseurs avaient pris un sérieux avantage.
"Ou ont-ils pris les hommes?
-Je crois que ce sont des prisonniers capitaine, ils ont du les sortir des prisons...
-Trés ingenieux, décidément ils me surprendront toujours, je crois que les anglais ne débarqueront pas avant quelques heures, il se retourna vers ses hommes et hurla, reconstruisez les barricades, re-approvisionner les armes et les canons, allez plus vite...
La barricade commença �  devenir un lieu de travaux, Lerequin chargea un homme de surveiller l'ancienne barricade, les anglais ne devaient pas s'en servir comme avant-poste, il ordonna aussi a quelques hommes d'aller chercher d'autre canons...  
« Dernière édition: 12 Septembre 2010 à 21:51:20 par victormcbernick »
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