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Auteur Fil de discussion: Boire sur un faux-rhum (suite)  (Lu 51003 fois)
Simon
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« Répondre #30 le: 15 Janvier 2006 à 14:33:50 »

le capitaine Rutabaga, se révaillant d"une bonne sieste réparatrice, écoutait avec attention le capitaine chocolat. En son fort intérieur il pensait:
[Pirates de tous les pays , unissez vous!!
"

Modifié par simon le 19/03/2006 23:20:14  
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chocolate
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« Répondre #31 le: 15 Janvier 2006 à 17:32:15 »

  en voyant cet individu étrange se trouvant juste derrière lui le capitaine chocolat se retourna et  l"examina attentivement il pensa que cet personne n"avait pas l"air de l"apprécier et déçu il sortit en trombe de la taverne et attendit dehors sous l"orage et la pluie qui faisaient rage un petit témoignage d"amitié qui ne viendrait sans doute jamais!  
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Simon
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« Répondre #32 le: 15 Janvier 2006 à 17:37:33 »

 le capitaine Rutabaga, attacha son chien Bruknor au pied de la table et suivi le capitaine Chocolatqui allait sous la pluie...

"Attends l"ami ! ne te morfond pas ! tu est nouveau ici ? hein ? ne prête pas attention aux divagations de marins perchés! je me présente : je m"apelle Rutabaga,,,"



j"ai la chance d"avoir mis la main sur une pièce du trésor Inca , cela t"interesses ?

Modifié par simon le 15/01/2006 17:46:34  
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chocolate
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« Répondre #33 le: 15 Janvier 2006 à 17:48:25 »

 je suis enchanté de faire votre connaissance messire , voys avez mon éternelle reconnaissance mais sachez que je ne suis pas interessé par vos cartes surement fausses mais si vous voulez pour vous faire plaisir je peux l"acheter  
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chocolate
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« Répondre #34 le: 15 Janvier 2006 à 17:50:42 »

 vous devez etre expérimenté messire , moi je ne possède qu"un sloop mais au niveai financier je suis pltot �  l"aise  , je vous paie une chopine de rhum si vous etes d"accord!  
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calvin
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« Répondre #35 le: 16 Janvier 2006 à 00:09:35 »

 Le capitaine Chocolate semblait bien en peine...Peut-être que le capitaine De Chollet l"avait traité avec trop de rudesse. Il semblait que le capitaine Rutabaga avait un faible pour le jeune de Marigny, les deux hommes discutaient sous la pluie devant la taverne. Depuis le perron, le capitaine De Chollet les interpella :"Allons compagnons, venez vous mettre �  l"abri, le rhum vous fera oublier vos déboires...et toi Rutabaga n"essaie donc pas de refourger l"une de tes fameuse carte �  ce pauvre Chocolate !"  
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Simon
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« Répondre #36 le: 16 Janvier 2006 à 00:24:24 »

 .....le capitaine Rutabaga gromela quelque chose dans sa barbe, puis considérant le capitaine Etienne de Chollet , souria �  plaine dents

-"C"est plus fort que moi, tu as raison ce n"est pas la journée des affaires!"

et donnant une tape amicale au capitaine Chocolat :

-"Allez viens l"ami , les chopines nous attendent!"

-"et puis tu as certainement des histoires croustillantes �  nous raconter..... "


Modifié par simon le 16/01/2006 00:25:43  
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chocolate
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« Répondre #37 le: 16 Janvier 2006 à 12:35:36 »

 merci messires ! �  partir d"aujourd"hui si vous l"acceptez je vous considererai comme mes frères! je dois partir pour la martinique mais nous nous retrouverons bientot je vous l"assure bon vent mes amis!  
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calvin
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« Répondre #38 le: 16 Janvier 2006 à 22:01:51 »

 Les capitaines se saluèrent et allèrent prendre congé les uns des autres lorsque tout �  coup un jeune mousaillon arriva en courant. Il était éssouflé et avait grande peine �  parler. Le capitaine De Chollet le reconnu de suite et très étonné lui demanda:"Mais Petit Tom que fais tu ici ?". Il lui répondit: "Capitaine....des hommes ...des hommes en armes ...ils viennent par ici, il vous cherche....".Le capitaine encore plus étonné : " Calme toi...Qui sont ces hommes et combien sont-ils?". Le mousaillon reprennait son souffle les mains sur ces genoux....:"Des marins..trouvé...corps d"une femme sur le ponton qui mène �  L"Albatros...elle portait une missive qui vous était destinée...les hommes du Gouverneur désirent vous parler, ils ont pris position devant notre batiment et quelques uns sont montés �  bord pour vérifier les cales !". L� , le capitaine De Chollet devait se rendre �  l"évidence, la nuit n"était pas terminée..Des bruits de pas et des cliquetis provenaient du coin de la rue. Les capitaines suivis du mousaillon s"engoufrérent �  toute vitesse dans la taverne..Moins de trentes secondes plus tard, les hommes de la garnison envahirent le débit de boissons. Un sergent de forte corpulence s"avança au millieu de la pièce et parcouru l"assemblée :" Messieurs, nous somme �  la recherche d"un capitaine français...Lequel d"entre vous se nomme Etienne de Chollet ?". Le capitaine se tenait derrière ces amis dans la pénombre et malgré l"alcool ingurgité il tentait de comprendre se qu"il se passait, il chuchota au moussaillon :"Passe derrière le comptoir et faufile toi jusqu"�  l"Albatros...préviens Guiseppe que nous allons lever l"encre plus tôt que prévu...je vous rejoins dés que possible...si �  l"aube je ne suis pas l� , dis lui d"aller l�  ou il sait !...Sais-tu qui était cette femme?". Le mousaillon fit un signe de tête que oui :"J"ai entendu le sergent dire �  ces hommes que c"est la fille du tenancier...."et il disparut. Le capitaine était choqué. Comment cela était-ce possible ?
Le sergent avança en direction du comptoir et s"adressa au patron :"Dis-moi ou se trouvent tes filles ?" Il fut quelques peu surpris et se retourna vers la porte qui donnait sur le garde-manger...les deux soeurs en sortirent l"une derrière l"autre, têtes basses...le père �  ces filles ."Ma yé né comprend pas ?...". Le sergent insista "Et la troisième, hein ou es-elle ?". Le père semblait perturbé :" Qé passa..elle dors �  l"étage!..". Le sergent sorti de sa bourse un collier de perles qu"il lança sur le comptoir. Il reconnu immédiatement le collier offert �  sa dernière fille, ce dernier dégoulinait de sang encore chaud...le père eu un vertige et l"une des soeur cria !."Mais enfin Sergent ! Ou se trouve notre soeur? Que lui est-il arrivé ?". Un silence glaciale s"installa, tous les personnes présente étaient pendues aux lèvres du sergent. Il annonça:"Elle �  été égorgée ! saignée comme un pourceau sur le port...et l"assassin se trouve peut-être dans cette pièce !.." Son regard fit le tour des visages qui le fixaient et d"en seul coup il s"arrêta..:"Hé bien Messieurs ? Qui êtes-vous ?" Il s"adressait aux capitaines Rutabaga & Chocolate...:"Je ne vous connait pas ! déclinez votre identité !" La tension était palpable et le capitaine De Chollet caché derrière eux était prêt �  tout...  
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chocolate
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« Répondre #39 le: 17 Janvier 2006 à 12:42:14 »

un homme qui se trouvait derrière les capitaines rutabagua et de chollet  s"avança vers le sergent ! messire  vous me connaissez  je crois! oui bien sur vous le jeune de marigny et etes  le fils de l"ami du le gouverneur !c"est ça ces capitaine sont de mes amis et aucun des deux ne se nomme de chollet je vous l"affirme sur la sainte bible car ce sont de mes amis et je les connais mieux que vous ! aussi laissez les en paix ou il vous en cuira!  
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calvin
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« Répondre #40 le: 17 Janvier 2006 à 14:40:43 »

 Le capitaine Chocolate avec audace tenait tête au sergent de la garde, néanmoins ce dernier semblait circonspet, et lui dit : " Bien Monsieur, si vous en repondez...sachez quand même que nous nous devons d"arrêter l"auteur de cet acte barbare... que ces messieurs s"avancent dans la lumière et répondent �  mes questions !". Un murmure parcourait la salle, tous les hommes se tenaient debout. Le capitaine De Chollet avaient les paumes sur les crosses de ses pistolets �  silex. Les gardes étaient trop nombreux, même avec l"aide de Rutabaga et Chocolate, le combat était perdu d"avance. De Chollet regarda le capitaine Rutabaga qui s"avanca d"un pas en direction du sergent qui se tenait les bras croisés, le menton relevé celui-ci lui demanda : " Qui êtes-vous ?".  
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chocolate
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« Répondre #41 le: 17 Janvier 2006 à 16:01:47 »

 mais le capitaine chocolate ne voulant pas que que son ami de chollet et que rutabagua   (qui avait sans doute l"intention de se dénoncer sous le nom de chollet)ne se fassent prendre  commis un acte que seul la fougue de la jeunesse permettait  il prit son sabre et attrapa  le sergent il lui mit son sabre sous la gorge et s"adressa aux soldats! si vous ne voulez pas que votre cher sergent meurt  de ma lame lachez vos fusils et autres armes et laissez ses pauvres hommes partir ! si je menace de tuer votre sergent c"est qu"il a osé mettre en doute ma parole et s"obstine �  vouloir voir un certain de chollet en ces braves capitaines qui ne lui ont rien fait ! choisissez ! accusez de pauvres hommes qui n"ont rien fait et  faire tuer votre sergent ou les laissez partir et ne subir aucun ennuis! le capitaine chocolate avaient quelques matelots �  son service qui se trouvaient dans la taverne et qui prirent tous leurs mousquetons et leurs fusils  en les mettant droit dans la direction des soldats!  
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Simon
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« Répondre #42 le: 17 Janvier 2006 à 23:15:35 »

 Le sergent :

"Bande de Misérables , je fais partie de la garde rapproché de notre bienheureux gouverneur!"

"Nous ne sommes pas dans un port Pirate Ici ! d"ici peu cette taverne ne sera qu"un vieux souvenir! croyez-moi!"

Le capitaine Chocolat, nullement impréssionné, ressera son étreinte.

Le capitaine Rutabaga prit la parole :

"Allons messieurs, du calme! La violence est l"arme des faibles! laissons tourner le vent de la discorde! Un jour viendra où les hommes seront tous frères et se tiendront la main dans une joyeuse farandole !"

Le capitaine Rutabaga, tellement surpris par la naîveté de ses paroles, se retourna pour voir si quelqu"un avait parlé a sa place....

Ce discours eût au moins l"avantage de calmer un peu la situation.

"Allons du calme " reprit-il " Malgré mes 3 grammes dans chaque chaussure, essayons de procéder calmement...

"Capitaine Chocolat " lâchez le je vous prie..."
il doit y avoir une explication logique...

"tâchons d"en savoir un peu plus sur cette affaire..."


Modifié par simon le 17/01/2006 23:17:45  
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thekid28
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« Répondre #43 le: 18 Janvier 2006 à 06:28:14 »



Modifié par thekid28 le 18/01/2006 06:28:59  
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calvin
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« Répondre #44 le: 18 Janvier 2006 à 11:54:49 »

 La situation semblait se calmer, mais tous les protagonistes se regardaient les uns les autres sans trop savoir par ou commencer... Le capitaine De Cholet rompit le silence : "Messieur, écoutons la voix de la sagesse de ce bon capitaine Rutabaga..." Il posa sa main sur l"épaule de son ami, et reprit :"Je suis celui que vous chercher ! Mon nom est Etienne De Chollet...cependant je n"ai pas quitté cette taverne de toute la soirée...bon nombre de personnes ici présente pourront en témoigner !". Tous se mirent �  parler en même temps..."Silence !" ordonna le sergent. Les soldats reprirent leus$rs armes. Le sergent qui malgré les apparence semblait être habité par le doute et voyant que la situation n"était pas �  son avantage demanda : " Très bien ! soit ! Qui peut certifier sur l"honneur que ce môsieur se trouvait parmi vous en cette soirée ?".
   
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