'Le rat qui pette'

[SilverFalcon]

SilverFalcon jugeait l'homme,regardant du coin de l'oeil la frele adolescente. Il examinait Seth du regard autant que lui,les deux hommes livrant une bataille sans merci. SilverFalcon,toujours ses yeux fixes dans ceux de l'Arabe, sourit en coin et dit clairement,d'une voix maitrisée qui ne laissait passait aucune émotion,une voix pure....une voix de tueur.

-Votre rétputation est fondée mon cher. Ainsi donc voila le fameux regard percant de cet étrange personage dont les gens parlent,ce Seth,ce pirate qu'ont dit inteligent,cultivé,maitre de soi,un homme parfait en quelque sorte.

Devant le sourire moqueur de l'arabe,silver se detendit et sont ton se changea,se muant en un ton proche du degagement,un ton de discussion.

-Vous ne m'impressionez pas. Mais cependant,vous m'intriguez. Dans la vie,il y a trois sortes de categories : ceux qui donnent les ordres,les chefs nes,les grands hommes comme les manipulateurs,les fraudeurs ou les voleurs les meilleurs du globe. Il ya ceux qui executent sans broncher,des braves hommes,ou des assasins. Et il ya ceux qui subissent. Vous faites parti de la premiere categorie.
Vous etes un grand homme,le regard ne trompe pas. Mais vous etes dangereux. C'est pour cela que je veux vous connaitre.
J'accepte volontier cette expedition,au nom de SilverFalcon,capitaine d'une brigantine appelée L'Aigle de La Tempete. Pour les noms des marins,et bien mon second s'en chargera.
Bonne fin de soiree cher......ami? Non ce n'est pas le mot? Collegue? Confrere? Associé? Non je pencehrai plutot pour "bonne nuit". Les mots valent peu de nos jours malheuresement.
A la revoyure. Ah,au fait! La date du depart est scandée depuis tout a l'heure par un jeune marin arabe. Nous ne demarrons donc pas demain.
Autre chose?

Seth devint calme et détentu il prit l'embout de la chicha et la proposa à silver qui resta hesitant.

Je ne veux pas le nom de vos homme juste le votre et celui du navire...

J'ai cru l'avoir fait savoir....


ps: comme à mon habitude pour éviter le flood rp j'ai posté dans ton message silver.
Scar

   

[cafardos]

-Tiens, répondit La Brunette �  Silverfalcon, nous avons un point commun... Moi aussi je hais mon nom... On m'a baptisée Maria mais je ne tiens pas �  ce qu'on m'appelle ainsi, si cela ne vous dérange pas je préfèrerais que vous me nommiez comme tout le monde le fait d'habitude : La Brunette ou Cafard... Il est étrange que votre surnom signifie "le faucon d'argent"... Bizarrement je vous trouvais l'oeil aiguisé d'un rapace.
Puis elle réalisa que ses derniers mots étaient plus ou moins insultants. Elle rougit une fois de plus.
-Euh enfin je veux dire... Ceci est un compliment !  

[Elisa]

Carole-Anne se tenait debout, face a la taverne... Elle rentre ou pas... non... si... Non... "Et puis zut! Ce n'est pas un coeur qui s'emballe de jalousie qui va m'arrêter!"...

Poussant la porte violemment, trébucha en ratant la petite marche �  l'entrée, "Mad Ethel" se releva, gênée et fusilla Silverfalcon encore et toujours...

- Oui! Messieurs!

Fit la jeune femme avec enthousiasme et une pointe de... tristesse ...

- Je part �  l'aventure avec vous! C'est décider ... Mais, je n'ai point de navire... Que faire... Mon capitaine est absent, cela est bien dommage car il aurai bien aimer partir avec nous...

Carole se dirigea vers ses amis... Par chance sa chaise, sur la quel elle s'était assise dessus étai encore libre et l'attendais...

- Messieurs... Burb... Je puis vous dire que mon capitaine est un grand... Très grand homme... Enfin bref... Sinon, je m'excuse profondément de mon comportement... Je suis désolée sincèrement mais... échec après échec... amoureuse... Voila ce que ça donne, je me demande parfois pourquoi je me suis investi en pirate pour la... Burb... Liberté, or que... Je ne vit vraiment pas si libre que ça... Rhaaa... Et puis zut je la ferme... Je suis partante pour votre expédition ou je ne sait pas quoi la...  

[Guyde]

Guyde, après avoir interrogé maintes personnes sur les quais afin de savoir qui rencontrer pour réparer son brick, finit par entrer dans la taverne du Rat qui pette.
La taverne était plutôt calme, tous écoutaient avidement Sangredios, le quartire-maître de l'Or Félin, faire un récit enflammé des dernières peripéties de son équipage. Guyde s'assit précautionnesement avec ses hommes. Il ne voulait pas déranger Sangredios, qui cherchera sans doute après son récit �  recrûter un maximum de nouveaux marins pour le brick, comme son poste le lui imposait. Guyde écoutait le récit de la bataille entre la frégatte et le brick. Bien que Sangredios ne soit pas un orateur avec une bonne technique, la passion qu'il y mettait et ses mimiques drôlatiques retenaient l'attention de tous.
Une fois le récit dramatique achevé, plusieurs marins payèrent �  boire aux malheureux hommes de l'Or Félin. Ceux-ci, malgrès l'amèe perte de leurs compagnons lors du combat, furent rapidement d'humeur �  festoyer, � célébrer le fait d'être encore en vie.
Guyde quant �  lui commença �  faire le tour des tables pour récolter des informations.
Arrivés d'Europe depuis peu, lui et ses hommes en avaient curellement besoin pour éviter que se reproduisent de si facheux drames. S'asseyant �  une table où se trouvaient des personnages �  la mise riche mais peu soignée, il leur offrit un cruchon et commença �  discuter:

"Le bonsoir Messieurs, permettez-moi de me présenter, Guy De Kervaleck, anciennement chevalier de Pont-Aven, et capitaine du brick libre l'Or Félin. L'un d'entre vous aurait-il une idée des causes de la mésaventure que mon équipage et moi-même avons vécu? Je me demande bien ce qui amena cette frégatte �  nous attaquer sans provocation, de même que qui a bien pu attaquer mes hommes sur cet ilôt juste avant..." (voir le post "un ilôt apparement tranquille")  

[Mongoose]

La taverne donnant directement sur les quais, on pouvait distinctement voir une flûte battant pavillon Français arriver.
Une fois débarqué, un homme mince et pas bien grand pour ne pas dire petit parla �  un matelot qui poussait un tonneau, celui-ci pointa le doigt en direction du "Rat qui pète", l'homme lui fit un signe de tête puis avança en direction de la taverne.
L'heure était encore matinale et les rayons rouges du soleil donnaient des reflets d'or sur la mer calme, le vent marin faisait bruisser les voiles et ramenait l'air salé du large.

L'homme rentra dans l'auberge marchant d'un pas souple, ses fines bottes de cuir sans talons ne faisant aucun bruit sur le vieux plancher, il avança vers le comptoir et s'arréta devant le barman.
Celui-ci passait un coup de torchon et n'avait sans doute pas vu arriver l'étranger.
L'homme toussota et le barman se releva en sursautant.

-Oui, que puis-je...
-Donnez moi un bol d'eau chaude et �  manger, répondis l'homme
sans laisser le temps au tavernier de finir sa phrase.

Il se dirigea ensuite vers une table dans un coin de la taverne, ayant une bonne vue sur l'entrée et le comptoir.

Il était habillé d'une tunique de cuir noir, d'une large cape qu'il avait ramené devant lui et d'une capuche qui dissimulait ses traits, mise �  pars une longue cicatrice qui lui parcourait le visage.

En s'asseyant, il ouvrit sa cape et l'on put apercevoir un étuit pour dagues de chaque côté d'une ceinture en cuir asser large ainsi que plusieurs autres, plus petites, le long d'une fine ceinture en bandoulière, ce système lui perméttait de pouvoir s'asseoir sans avoir besoin de quitter ses armes une seconde.

Après avoir été servi, il pris une petite besace accrochée �  sa ceinture et en retira quelques plantes pour les mettre dans le bol d'eau chaude puis commença �  manger tout en parcourant des yeux la grande salle et inspectant les nouveaux arrivants...


(16h45: p'tite mise à jour)

La taverne était particulièrement calme aujourd'hui, quelques marins sans capitaines buvaient ou jouaient aux dés, souvent les deux. Les plus costaud tentaient les bras de fer et d'autres étaient en compagnie de filles.
Même le tavernier c'était mis �  jouer une partie de dès, curieusement avec des catins, d'on l'enjeu, je vous laisse le deviner était assez spécial...

Silk en profita pour se détendre un peu.
Il prit un parchemin sur lequel était dessiné une cible simple qu'il accrocha �  l'aide d'une des dagues qu'il portait en bandoulière, recula de plusieurs pas, pris cinq autres dagues et commença �  les lancer sur la cible.

Les dagues filaient dans les airs avant de percuter la cible,

TCHAK !

Celle-ci était doublée de cuir épais pour ne pas s'abimer trop vite.

TCHAK !

Tout en lançant ses coutelats, Silk repensait aux raisons qui l'avait poussé �  quitter Saint Malo (hrp: voir présentation du personnage), aux longues journées passées en mer et bien sûr, à ce qu'il allait faire maintenant.
"Pour le moment", pensa-t-il
"Je me repose...on verra la suite plus tard"

Silk n'étend pas un gros penseur et vivant le moment présent, cela ne lui servait �  rien de se prendre la tête maintenant.
Il fera ce qui doit être fait en temps voulu.

Il continuait de tirer sur la cible avec une cadence régulière quand un badaud ayant sans doute un peu trop bu arriva dans son dos et lui dit d'un ton brutal :

-Hey, l'étranger ! s'ont jolis tes cure-dents.
Silk s'arréta net, gardant une dague dans la main droite
-Passe m'en un, j'ai du lard coincé entre les chicos !

A ce moment, Silk se retourna �  moitié, lui lançant un regard assassin. On entendit soudain un sifflement suivi d'un hurlement.

-Oups, trop bas ! fit Silk d'un ton sarcastique

Le reflexe du malheureux fut de se baisser vers son pied blessé, mais lui valu un coup de genoux dans la tête qui le fit basculer en arrière.
L'homme était sonné, son nez était cassé, mais ce n'était pas tant le choc de l'attaque que l'alcool ingurgité qui le faisait rester au sol.

Silk récupera sa dague puis se remit �  s'exercer, alors que les amis du pochard l'aidaient tant bien que mal �  ce relever.
Les clients de l'auberge se rendirent compte qu'il ne fallait pas juger un homme par sa taille.

Les discussions qui s'étaient interrompues lors de l'incident reprirent peu �  peu et la taverne retrouva son ambiance habituelle.  

[Talisca]

Une seule avait stoppée ses paisibles conversations pour se précipiter sur le corps du malheureux. Ce fut au tour de la jeune femme de jeter aux fameux lanceurs d'assassins regards.

- Mélisande ! Mélisande ! conduit-le à sa cabine ordonna-t-elle

Elle se releva une fois que l'homme fut entre les mains de ses matelots et sa seconde. " A nous deux " songea-t-elle alors.

- Alors sa seigneurerie. On joue les jeunes premiers avec des cure-dents ?

Les pupilles de Thisbé cachées par l'ombre de ses paupières et qui semblaient regarder par en dessous lancaient des éclairs. L'individu qui venait de blesser Trompe-la-mort fiot un geste. Aussitot elle dégaina...

- Je ne vous ai jamais vu traîner dans les parages... La piraterie semble être pour vous une chose bien nouvelle...

 * Comme pour toi ma belle* pensa-t-elle * Mais ce n'est pas le moment de perdre la face*...  

[Mongoose]

-C'était trop beau pour durer, soupiras t-il

La jeune femme tenait fermement son sabre, elle n'avait rien �  voir avec le nilgaut
de tout �  l'heure.
Alors que Silk l'inspectait, il remarqua le doit en moins de la jeune femme, cela lui rappelait sa cicatrice, elle était plutôt belle, un peu plus grande que lui mais les talons devaient joué leurs part du travail.

-ton gars avait trop bu, il ma manqué d'respect, je l'ai remi �  sa place.

La jeune femme ne dessèrait pas la prise sur son arme et son regard noir et profond en disait long sur ses intentions.
Elle ne le laisserait pas s'en tiré comme ça

-Je ne cherche pas les ennuis, je suis fatigué et mes lames ne sont pas aiguisées, lança-t-il d'un ton neutre.

*Encore une boulette, mon passé me rattrape, je ne pourrait jamais avoir une discussion normal bordel* songea-t-il.
   

[Guyde]

Guyde venait de descendre de la chambre qu'il avait prise pour la nuit et voulait commander un café chaud lorsqu'il se rendit compte que quelque chose clochait dans la taverne, tout était trop calme.
Remarquant soudain l'homme avec ses dagues et la femme armée qui lui faisait face l'éée haute, il poussa u profond soupir. Avisant un cruchon en terre cuite, il le lança entre les deux duellistes qui se regardaient en chien de faillence. Le cruchon attérit au milieu des deux et se brisa dans un grand fracas. Guyde haussa alors la voix et leur dit d'un ton peu amène:
"Demoiselle et vous Monsieur, si vous voulez regler un différent, je vous suggère vraiment de le faire en vérifiant lequel de vous deux saura coucher l'autre dans un duel de boisson. Sans quoi vous aurez tous deux affaire �  mon pistolet. Trop de mes hommes sont morts récement et je ne saurais souffrir de voir deux braves s'entretuer de si bonne heure !"
Se faisant, il avait déginer son pistolet �  rouet et il le braquait successivement sur l'un et l'autre des fâcheux qui avaient troublé son réveil. Puis baissant le ton il ajouta:
"Ceci dit si vous acceptez de remettre le règlement de votre querelle �  plus tard, je vous offrirais bien volontier un petit déjeuner afin que nous discutions de ce qui vous chagrine �  ce point et des informations récentes que j'ai recueilli hier."  

[Talisca]

Thisbé qui ayant entendu les paroles de l'individu avait décidé de ne pas faire d'histoire, son équipage ayant aussi subit un carnage. Elle rengaina alors son arme lorsque Guyde lui pria de le faire. Et sourit au bonhomme avec une de ses expressions faussement joyeuse.

- Alors optons pour le déjeuner car si tout le monde joue �  impressionner les autres ceci n'aura plus de fin... souffla-t-elle. Puis, plus joviale : Mais que faites vous donc ici messieurs ? Et quelle est cette fameuse découverte ? murmura-t-elle plus bas...
   

[Guyde]

Guyde, soulagé, s'attabla et fit signe au barman pour qu'il apporte �  manger. Puis, posant son trop grand chapeau, s'adressa �  la demoiselle qui l'avait rejointe:

"Je me nomme Guy De Kervalek, dit Guyde, et mon équipage et moi-même avons récement perdu plusieurs de nos chers compagnons dans une cruelle bataille contre une frégate inconnue au large d'un ilôt où deux de os braves furent tués par on ne sait qui. Autant dire que comme informations nous n'avions pas grand chose, mais j'ai entendu dire ici même hier soir que des tribus d'indiens caraïbes étaient en train de mettre les caraïbes �  feu et �  sang, pillant et détruisant les colonies européennes. Sans doute tout ceci est-il d'une façon ou d'une autre lié, car la frégatte �  laquelle nous n'échapâmes que par miracle était endommagée, peut-être avait-elle eu maille �  partir avec ces indiens. La question qui se pose maintenant est de savoir comment utiliser tout cela. Je ne sais ce qui vous pousse �  vous lever le matin, mais je rêve quant �  moi de fonder une nouvvelle république, égalitaire et fraternelle, où tous les hommes vivraient hors de la domination de leurs semblables. Peut-être que ces drames sont alors une chance, mais j'aurais besoin de plus d'informations, en auriez-vous par hasard que vous seriez prête �  partager?"  

[Mongoose]

Silk hésitait, ce n'était pas dans son caractère de se faire emmerdé sans rien dire mais il n'avait pas envie de tester l'habilité au pistolet du nouveau venu et sa proposition d'offrir le repas ne lui déplésait pas.

La jeune femme le pris de vitesse. Il pris son temps pour ramasser ses armes et pendant qu'il ramassait sa cible, les deux pirates et vraisemblablement capitaines commencèrent �  parler.

Silk écoutait tout en se raprochant, se roula une cigarette puis vint s'assoir �  côté d'eux.

-Ton histoire est intéressante, dit-il sans laisser le temps �  la personne questionnée de répondre

Sa tête était baissée et sa capuche, toujours rabaissée, masquait son visage de ses interlocuteurs.

-Pour ma part, je viens d'arriver de France où je n'était plus le bienvenu, dit-il en signe de présentation.

-Tout ce que je peux te proposer pour le moment, c'est de finir ton assiette...hum, mais si vous avez autre chose �  proposer l'un ou l'autre, je suis tout ouïe, enchaina t-il avant de reprendre une bouffée de cigarette.

hrp: désolé d'avoir mis tant de temps �  répondre mais j'ai quelques soucis avec internet.
veuillez agrées madame monsieur blablabla...

(15/12/07 00h00 : mise à jour)

N'ayant pas put avoir plus d'information, Silk était monté se coucher, laissant les deux pirates boire et discuter entres eux.

Le lendemain, se levant de bonne heure, il remarqua qu'il était le premier �  se lever des trois.
Les autres ayant surement veillé très tard, ils devaient profitaient de la grasse matinée.

Il commanda �  manger et, ne voulant pas attendre le déluge avant de pouvoir proposer ses services �  l'un ou l'autre des deux capitaines, il décida de partir �  la recherche de nouvelles informations sur la fameuse attaque que Guyde avait subit et d'un employeur pour pouvoir continuer �  manger.

Avec un peu de chance, il ne tarderait pas �  trouver quelqu'un ayant besoin d'une bonne lame ou de retomber sur Guyde ou Thisbé, en esperent ne pas être dans le camp adverse.
Cette pensée lui fit esquisser un sourir, il avait déja vu des pirates mais ceux l�  semblaient differents. Au lieu de piller sans réfléchir, ils avaient l'air de vrément vouloir quelque chose. Quelque chose qui soit au dessus de l'or et des massacres.
Bien sur, il se doutait que tout les pirates des caraïbes étaient comme ça mais... il espérait quand même.

Ne connaissant pas la région, il demenda au barman une direction �  prendre.
Celui-ci lui indiqua Saint Domingue, une grande ville espagnole �  quelques encablures.

-Z'avez d'la chance mon gars, y'a justement un commerçant qui par avec une pleine cargaison de vivre et de munitions pour le fort français, dit le tavernier

Silk n'attendit pas plus longtemps. Il se trouva une place �  bord et se prépara �  passé quelques jours en mer.



suite dans les "Mers des Caraïbes" : "Voyage vers Saint Domingue"  

[Guyde]

Guyde se réveilla tard ce mati l� , il avait discuté un certains temps avec les pirates, mais n'avait rien appris de particulièrement intéressant. Sans doute devrait-il passer un peu plus de temps dans cette taverne et sur le port pour obtenir plus d'informations. Cependant, son temps était compté. En effet, les réparations du navires avaient coûté cher et l'achat d'un canon de chasse �  affut plus long que des canons normaux avait sérieusement grevé les finances du navires. Le pot commun de l'équipage en avait pris un coup, et il leur faaudrait bientôt reprendre la mer et faire une bonne prise pour rééquiper leur navire, car ils avaient jetté leurs canonss �  la mer pour parvenir �  fuir la frégat et sauver leur peau. Désormais équipés d'un seul canon de chasse l'Or Félin devrait ruser ou bluffer pour prendre un navire un tant soit peu protégé ou armé.

Guyde ruminait ces pensées en ce matin clair �  La Tortue et espérait faire d'intérressantes rencontre, pourquoi pas un futur asocié. Après tout la jeune femme qu'il avait rencontré hier pourrait s'avérer une bonne associée si son navire était potable...  

[Guyde]

Guyde pénétra enfin au Rat qui pette. Cel�  faisait des semaines qu'il attndait ce moment où les pirates pourraient souffler et établir un nouveau plan d'action.

S'arrêtant sur le seuil, Guyde observa longuement la taverne. Basse de plafond et fragile d'aspect, d'habitude le Rat qui Pette grouillait d'animation �  cette époque de l'année. Or, aujourd'hui, seuls les pirates descendus de l'Or Félin semblaient d'humeur festive et festoyaient bruyamment en  essayant d'entreprendre les serveuses et les filles �  la poitrine découverte qui hantaient cette taverne réputée aussi pour ses plaisirs.
Guyde fronça les sourcils, mais balaya son appréhension pour aller commander un pichet et de la boustifaille, avant de s'asseoir �  une table où quelques boucaniers, sans doute de retour d'Hispagniola, jouaient aux dés.

De son côté, Sangredios, après avoir examiné les clients et interrogé le barman sur les marins présents, alla se joindre aux autres membres de l'équipage en attrapant par la hanche une jeune métisse �  l'air coquin.  

[scar]

Cela faisait huit mois que Seth n'était pas revenu dans cette taverne, hui long mois.
mais cela était dérisoire �  coté des quatre ans qui le séparaient de sa mer et de son pays. Jean et tom étaient avec lui. pas mécontent de s'en être sorti de leur derniers navire.

- allez Seth sourit un peu!! la gahe tout de même. Ricana Jean.

ils prirent une table, ils étaient recherché dans Léogane. Jean en riait encore.
- quand j'y pense on avait réussit �  voyager deux semaines avec toi déguisé en malade de peau, recouvert de ton manteau fatigué incapable de parler et sans rien qui nous arrive.
- Et le jour de l'arrivée au port j'en rie encore. tu t'avance fatigué �  se moment un gars a marché sur ton manteau ce dernier �  glissé, dévoilant tes bras �  la peau parfaite et toi tu te retourne lui mettre un coup de tête en jurant en arabe avant de le projeter �  Terre.
- d'un discret rajouta le français et après tu souris devant l'équipage ahuri de la scène.
- il fallait finir le théâtre en beauté! S'exclama Seth fier. J'allais pas me faire marcher sur les pieds, enfin le manteau. et la tête que ces anglais ont fait. Je crois qu'ils sont encore entrain de la faire.
- La chasse d'avoir été accepté le jour même sur un navire partant �  la tortue.
- La course que j'ai fait poursuivit par cinq d'entre eux armés et les habitants qui nous regardaient courir et toi, tom, qui ajouta au capitaine "Tiens il s'est remis de sa maladie!" avec un air innocent
Fit Seth en pointant du doigt tom, les trois hommes rirent de bon cœur comme des enfants, leur aventure était du comique plus que de l'aventure.
On leur servis de quoi manger pour deux et un pichet de rhum, celle chose qu'ils pouvaient payer.  

[scar]

- On va faire quoi? Demanda Seth.
- Je ne sais pas! après ce qui c'est passé aux autres Dit Jean en déserant son foulard qu'il portait autour du cou Je serais bien tenté de m'installer sur cette île ou de revenir au pays. Je ne risque plus de monter sur un navire.
- Pas moi je vais reprendre la mer. Mais c'est certain pas sous la Jolly rogger. Fit tom. L'ennuie c'est que je suis recherché par l'Angleterre. Tu as de la chance Seth d'être mort?
- Pardon je suis pas maures je suis arabe!
- Non mort M-O-r-T!
Seth eut une moue, il ne comprenait pas en quoi il était mort.
-Lors du procè Quentin a annoncé ta mort. Pour eux tu es mort le temps que tu resurgisse.
- Le temps que les marins anglais comprenaient ce qui s'est passé et dise partout qu'un malade arabe qui a été soigné par la grâce de dieu leur a fauché compagnie. Rajouta Jean en plongeant sa cuilliere dans l'assiette, en ricanant.
- C'est sur je vais vite réssucité
- Comme Jésus!
- Blasphème pas! grogna Jean à tom.

Les trois hommes continuèrent �  discuter, Jean avait pris la décision de s'installer le temps de pouvoir trouver un navire pour aller en France. Seth n'avait pas le choix, ils devraient continuer sa vie de pirate ou aller �  Madagascar, seule cote qui ne le connaissent pas encore assez bien comme pirate. Mais cela le rapproche du Grand Moghol, ennemi bien plus cruel et dangereux que la couronne anglaise.